Quiz Les 7 Merveilles du monde antique – Niveau 2

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      Le tombeau de Mausole ou le Mausolée d’Halicarnasse est la bonne réponse, il est considéré comme la cinquième des 7 merveilles du monde antique. Mausole était un dignitaire perse, satrape achéménide de Carie. Le mot « Mausolée » est issu de son nom et désigne aujourd’hui un tombeau monumental. Tel le mausolée d’Hadrien à Rome. Le Mausolée d’Halicarnasse faisait pas moins de 45 mètres de haut. Il serait l’œuvre de quatre grands sculpteurs grecs. Chacun réalisa un côté monumental, sublimement orné de sculptures. Traditionnellement on les attribue à Leocharès, Bryaxis, Scopas de Priène et Timothéos.

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      Le temple d’Artémis à Éphèse fut incendié volontairement par Érostrate. Un berger en manque de célébrité!! Le temple d’Artémis ou l’Artemision d’Éphèse donc se situe dans l’ouest de l’actuelle Turquie. Il fut financé par le célèbre roi Crésus de Lydie. Dans l’Antiquité, ce temple grandiose et monumental est l’un des plus importants sanctuaires d’Artémis. Qui est la déesse grecque de la chasse et de la nature sauvage. Quatrième des Sept Merveilles du monde antique, le temple avait des dimensions exceptionnelles. Avec une longueur d’environ 140 mètres pour 70 de large. De plus sa décoration était d’une richesse et d’un raffinement sans précédent.

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      La statue chryséléphantine de Zeus à Olympie était faite d’or et d’ivoire comme son nom l’indique en fait. Le terme «chryséléphantine» vient du grec «chrysós», signifiant «or», et «elephántinos», signifiant «en ivoire». Ainsi cet adjectif  désigne donc les statues réalisées avec ces deux matériaux. La statue monumentale avait tout de même une ossature en bois. Aujourd’hui disparue, elle était l’œuvre du sculpteur athénien Phidias. Selon Pausanias, son trône comportait une décoration à la fois sculptée et peinte, incrustée de pierres précieuses et d’ébène.

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      Nabuchodonosor II est la bonne réponse. Les seules traces que nous sont parvenues sont des écrits de plusieurs auteurs grecs et romains antiques. Ainsi ils sont décrits ou mentionnés par Diodore de Sicile, Strabon, Philon d’Alexandrie entre autres. Tous ces auteurs se sont inspirés de sources plus anciennes comme les écrits du prêtre babylonien nommé Bérose. C’est d’ailleurs à celui-ci que l’on doit l’histoire de la construction des jardins suspendus. Il les attribue à la volonté du souverain Nabuchodonosor II. Qui voulait ainsi rappeler à son épouse, Amytis de Médie, les montagnes boisées de son pays natal.

Nabopolassar et Nabonide sont deux rois de la Xe dynastie aussi appelé Empire néo-babylonien. Respectivement le premier roi fondateur et le dernier d’une dynastie qui dura un peu moins plus d’un siècle, de -626 à -539 avant notre ère.

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      Hélios est la bonne réponse. Selon la légende, l’île sortit des eaux, Hélios, dieu du soleil fut le premier à la voir, il la trouva si belle qu’il prit l’île sous sa protection. Le nom de Rhodes fut donné à l’île en l’honneur d’une nymphe de eaux nommée Rhodé, dont Hélios fut charmé.

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      2 millions 300 mille blocs est la bonne réponse!! La pyramide de Khéops a été bâtie sous la IVe dynastie, il y a plus de 4500 ans, sous l’impulsion du pharaon Khéops. Sa base fait 440 coudées royales soit un peu plus de 230 mètres de côté. On estime que sa hauteur initiale devait mesurer 146 mètres soit 280 coudées royales. Ce qui fait d’elle la plus haute et la plus massive des 3 célèbres pyramides de Gizeh, dites de Khéops, de Khéphren et de Mykérinos. Ainsi et d’après les études, elle se composerait de près de 2,3 millions de blocs d’en moyenne 2,5 tonnes chacun.

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      Les guerres des diadoques est la bonne réponse. On est durant le siège de Rhodes, en 305 avant notre ère. Celui-ci est un de plus célèbres de l’Antiquité de par son importance et les moyens qui y sont déployés. Il durera plus d’un an, c’est un illustre épisode des guerres des diadoques. Le siège se soldera par un accord signé en 304 avec Antigone le borgne, général macédonien d’Alexandre le Grand. Pour célébrer l’événement, les Rhodiens érigent une statue monumentale l’entrée du port, qui peut-être l’enjambait.

Les guerres médiques sont au nombre de deux, elles opposèrent les Grecs aux Perses de l’Empire achéménide. Ceci au début du Ve siècle avant notre ère.
Et la guerre du Péloponnèse qui se déroula elle de -431 à -404 avant notre ère. Ce conflit entre grecs, opposa la ligue de Délos, groupée autour d’Athènes, à la ligue du Péloponnèse, menée elle par Sparte.

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      La légendaire statue de Zeus est la bonne réponse. Celle-ci se trouvait à Olympie, en Élide, une région située à l’ouest de la péninsule du Péloponnèse sur la mer Ionienne, entre la Messénie et l’Achaïe.

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      Le Phare d’Alexandrie est la bonne réponse, il est la septième et dernière merveille du monde antique. Même si on ne connait pas exactement les dates le concernant. Nous savons que sa construction a débuté sous le règne de Ptolémée Ier. Celui-ci est un des diadoques et généraux d’Alexandre le Grand. Ainsi il recevra entre autres l’Égypte comme satrapie et sera le fondateur de la dynastie des Lagides. On estime aujourd’hui que la construction du Phare d’Alexandrie a débuté entre 299 et 289 avant notre ère. Il sera inauguré sous Ptolémée II, le deuxième des Lagides à gouverner. Le célèbre phare a servi de guide aux marins du IIIe siècle avant notre ère et jusqu’au XIVe siècle. Ainsi il fût en service durant près de dix-sept siècles.

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      50 km est la bonne réponse!! Cela parait incroyable mais le Phare d’Alexandrie avait des dimensions exceptionnelles. Il faisait pas moins de 135 mètres de haut soit la taille actuelle de la pyramide de Khéops avec ses 139 mètres.

D’après les recherches de Jean-Yves Empereur, qui accumula un certain nombre d’éléments qui nous sont parvenus. Soit des mosaïques antiques, des pièces de monnaies d’Alexandrie frappées entre le Ier siècle avant notre ère jusqu’au IIème siècle. En s’appuyant également sur les écrits anciens, tels ceux de Strabon, Plutarque, Abu Hamid Al-Andalusi ou encore Ibn Battûta. Mais également sur une « copie » réduite antique de Taposiris Magna à 40 km d’Alexandrie. De plus Jean-Yves Empereur a pu étudier les vestiges du Phare écroulés dans la baie. Ainsi on a pu définir assez précisément la forme et les dimensions du célèbre monument.

Il se compose de 3 parties. Sa base carrée légèrement pyramidale devait mesurer 70 m de hauteur pour 30 mètres de côté. Puis une structure en colonne octogonale prenait place. Pour finir par une petite tour ronde, qui aurait été coiffée d’une statue.

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